Star Cloud, ni fille, ni garçon

Nikki et Louise sont les parents de Star Cloud, âgé de 4 ans. La ‘maman’ biologique de Star est Louise, qui est née homme, mais qui a suivi un traitement hormonal pour devenir femme. Nikki, pansexuelle, est quand à elle, le ‘papa’ de Star. Nikki est née femme, mais s’habille parfois en homme. La pansexualité est l’attirance pour tout individu, quel que soit son sexe ou son genre. Le couple explique vouloir élever leur enfant sans distinction de genre. Biologiquement, Star est né garçon. Mais Nikki et Louise sont totalement opposées à l’idée de le ranger dans une petite case. Et donc, de ne l’habiller qu’en bleu (par exemple) et de ne lui offrir que des jouets que l’on considère destinés aux garçons. Star est donc élevé en tant que « sexe neutre ».

Il aime tous les jouets, sans distinction !

Star Cloud s’habille comme il le souhaite, et joue avec tous les jouets qui lui plaise. Il a dans sa garde-robe des vêtements multicolores, roses, des jeans, des vestes… Des tenues pour ‘filles’ et pour ‘garçons’. Quant à ses jouets : Barbies, petites voitures, peluches, légo, avions, poupées… Star ne joue pas avec les jouets que la société estime destinés pour lui. Mais simplement avec les jouets qui lui plaise. Et il les aime tous ! Nikki et Louise expliquent ainsi que leur enfant doit se sentir comme une personne avant de se sentir comme un garçon ou une fille. Une décision qui ne fut pas totalement comprise par les grand-parents au départ. Mais qui, après avoir constatés que Star était un enfant aimé et heureux, ont fini par accepter.

Et vous, que pensez-vous de cette éducation ?

Crédit photo / photo à la une : Mark Pinder

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L’invention géniale de l’année !

Eh voilà, l’invention que j’ai attendu toute ma vie vient d’être lancée. Je me suis toujours demandé de quelle façon on pourrait dormir (vraiment) confortablement sur la banquette arrière d’une voiture. Il y a bien une astuce, qui consiste à empiler des sacs ou des petites valises sur les tapis afin de prolonger un peu la banquette arrière. Mais franchement, c’est pas terrible. Donc, le Fuloon a été inventé ! Il s’agit d’une sorte de matelas gonflable qui s’adapte parfaitement à l’habitacle arrière d’une voiture. De sorte à vous laisser un peu plus de place. Et surtout, que vous ne soyez pas à moitié recroquevillé comme un fœtus.

Doté d’une pompe électrique 12 volts

Notez cependant que ce matelas gonflable, qui ne m’a pas l’air des plus solides, coûte tout de même 100 euros. Mais il est doté d’une pompe électrique de 12 volts qui vous permet de gonfler le truc en un temps record. Il s’adapte à pas mal de modèles de véhicule, ce qui est relativement pratique. Par contre dans la Twingo, on oublie. Encore que, c’est à tester. Quoi qu’il en soit, je trouve cette invention vraiment géniale. C’est tout con, mais il suffisait d’y penser. C’est l’idéal si vous êtes du genre à partir en roadtrip sans vouloir dépenser de l’argent pour vous poser dans un hôtel miteux. Alors, qui dit mieux ?

Crédit photo à la une : roadtrippers

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A seulement 31 ans, Emma Halford qui vit à Rugeley, dnas le Staffordshire, une région de l'Angleterre, disait il y a encore quelques mois qu'elle ne pouvait pas se regarder dans le miroir. Aujourd'hui, la demoiselle se transforme. Pourtant, complexée par son poids, la jeune femme n'osait même pas acheter ses propres vêtements et demandait à sa mère de s'en charger pour elle. En plus de cela, elle admettait sans difficultés ne prêter aucune attention à ses cheveux. Suivant une résolution du nouvel an de se mettre au fitness, la demoiselle a voulu évoluer. Malheureusement, il y a peu, son compagnon, Craig, le père de ses trois enfants s'est suicidé. Comme Emma le dit : "Mon entraînement était un moyen de faire mon deuil. Je m'entraînais déjà avec de gros efforts, mais c'est devenu un moyen d'évacuer ma douleur."

Ayant connu les difficultés de la vie d'une personne en surpoids, Emma est devenue une entraîneuse personnelle. Dans le but d'aider les gens qui l'entourent, la demoiselle les aide à révéler ceux qu'ils sont en fait au fond d'eux. Comme elle le dit : "J'ai juste effectué quelques légères modifications, de sorte que ce ne soit pas trop difficile à endurer point par point. Si vous tombez du chariot, remontez dessus !"

Voilà une belle leçon de morale qui peut s'appliquer à beaucoup ! 

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Il fait exprès de lui acheter une bague trop petite

C’est ce que j’appelle du bon gros goujat, pour rester polie. Et pour cause, Chloe Cooper, 23 ans, s’est vu offrir une bague de fiançailles trop petite par son petit-ami. Il l’avait fait exprès et lui a dit qu’elle pourrait la porter le jour où elle aurait maigri. Ils avaient emménagés ensemble lorsque Chloe n’avait que 16 ans, il avait alors 5 ans de plus qu’elle. Elle explique avoir souffert de problème de poids tout au long de sa vie. La jeune femme se souvient qu’elle se jetait souvent sur la nourriture lorsqu’elle était en colère ou triste. Un détail qu’avait manifestement compris son petit-ami abusif. Il a commencé à agir de façon de plus en plus étrange avec elle. La poussant parfois même à manger pensant la rendre moins attirante aux yeux des autres. Il faut sérieusement avoir une case en moins pour faire une chose pareille…

Chloé a repris sa vie en main et a retrouvé l’amour

Mais la cerise sur le gâteau fut l’épisode de la bague de fiançailles. C’en était trop pour Chloé, qui a décidé de rompre, de revenir chez ses parents et de reprendre une alimentation équilibrée. Aujourd’hui, la jeune femme travaille même en tant que coach sportive et a retrouvé l’amour avec un garçon bien plus attentionné, Ashley. La jeune femme a perdu 4 tailles de vêtements. Aujourd’hui, elle fait une taille 40 et se sent beaucoup mieux dans sa peau. Ashley aurait d’ailleurs demandé sa belle en mariage, et cette fois, avec une bague qui lui va ! Le petit couple vit ensemble à Undy, en Grande-Bretagne. Espérons que cette fois, les choses se passent mieux pour elle. Mais cela peut difficilement être pire.

Avant

Après

Son nouveau petit-ami

Crédit photo / photo à la une : © Chloe Cooper

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Des températures allant jusqu’à 40°C

Los Angeles subit actuellement des records de température. En effet, elles sont montées jusqu’à 40 degrés, ce qui a obligé la municipalité à prendre quelques mesures. Il s’agit pour le moment d’un test qui consiste à repeindre les rues à l’aide d’un revêtement spécial de couleur blanche. Test que les écologistes prennent tout à fait au sérieux, bien que cela puisse paraître un peu étrange de prime abord. Il est vrai que le bitume absorbe entre 80 et 95 % de la lumière du soleil. Alors que le blanc réfléchit la lumière et par conséquent, permet de faire baisser la température du sol.

Cool pavement : la solution contre la chaleur ?

Le revêtement en question s’appelle Cool Pavement et a été fourni par la société Guardtop. Comme l’indique le vice-président, Jeff Luzar, la chaleur sur le bitume noir est d’environ 42-43°C. Et sur la surface ayant été peinte en blanc, dès la première couche, le sol affiche une température de 36°C. Une baisse non-négligeable en somme. D’autres villes tentent également de trouver des solutions du même genre. Ainsi, certaines utilisent des revêtements de toit, quand d’autres plantent des arbres. Quoi qu’il en soit, Los Angeles est l’une des premières villes à tester ce système. Et notons que peindre 1.6 km de route reviendrait à 34 107 euros et le résultat serait efficace durant 7 ans. Ce qui reste raisonnable pour lutter contre la chaleur et le réchauffement climatique.

Crédit photo à la une : Greg Spotts

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ndDexter et Rita étaient effrayés

Lorsque Rita et Dexter sont arrivés au refuge Seconde Chance Rescue, en Géorgie, les bénévoles étaient sous le choc. Il faut dire que ce qu’ils avaient sous les yeux étaient désolant. Deux chiens, complètement effrayés, dont l’un des deux était particulièrement maigre. Les bénévoles pensent que les deux animaux ont été abandonnés par leurs anciens maîtres. Malgré les abus et la maltraitance qu’ils avaient subi, ils étaient deux adorables chiens. Très aimants et toujours là l’un pour l’autre. Alors que le vétérinaire s’occupait de les remettre sur pied, leur histoire et leurs photos ont fait le tour du web. Et un couple est justement tombé sur Rita et Dexter…

Second Chance Rescue

Le couple avait déjà eu un chien

Le couple en question est Kari Ceicys et son mari, Ian. Tous les deux sont des amoureux des animaux. Ils sont d’ailleurs les heureux parents d’un toutou nommé Sadie. Kari explique que c’est son mari qui l’a ramenée à la maison un jour. La chienne avait alors été mise à la rue avec toute sa portée à la Nouvelle-Orléans. La pauvre souffrait de diverses blessures. Mais malgré un lourd passif, elle était une adorable chienne et ses maîtres étaient comblés de l’avoir dans leurs vies. Malheureusement, la jolie Sadie est décédée à cause d’une tumeur. Avant même qu’ils n’eurent l’occasion de la faire opérer, un caillot de sang s’était formé et l’instant d’après, Sadie n’était plus là.

Crédit : Kari Ceicys

Un amour sans limite

Une perte qui les a dévasté. Mais un mois plus tard, le couple a vu la vidéo de Rita et Dexter. Ils ont été profondément touchés par leur histoire. Pour Kari, c’était un signe. Le couple avait décidé que ces deux âmes en peine seraient à eux et qu’ils allaient s’en occuper du mieux qu’ils le pouvaient. Ils ont immédiatement entrepris les démarches pour adopter les deux chiens. Aujourd’hui, ils sont plus heureux que jamais. Et les bénévoles confient même avoir pleuré de joie en voyant les photos de leur arrivé chez ce gentil couple. Ils étaient enfin heureux et allaient avoir la vie qu’ils méritaient ! On vous laisse juger :

Photo : Kari Ceicys

@Kari Ceicys

Crédit photo : Kari Ceicys

Crédit photo à la une : Second Chance Rescue

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Vivre seul ? Avec plaisir !

Vivre seul peut parfois donner lieu à des moments géniaux. Le genre de petits moments qu’on peut s’offrir rien qu’a soi, et ça fait du bien. Il est vrai que lorsqu’on vit à deux, ou même en coloc’, il est indispensable de s’adapter. Ne serait-ce qu’un minimum, auquel cas ça peut vite devenir le bordel. Disons qu’à partir du moment où l’on commence à être plus d’une personne dans une maison, mieux vaut commencer à s’organiser un peu. Mais quand on est seul après tout, on s’en tape non ? Cela ne dérangera personne si cette tasse de café traîne dans l’escalier. Ou si le paquet de cookies a décidé de se renverser dans le lit (tout seul, oui oui…). Ou même si on pose ses chaussons tout sales sur le canapé (^^ n’est-ce pas ?).

Les petits bonheurs de la vie en solo

Mais sérieusement, vivre seul(e) c’est peut-être la solution pour avoir enfin la paix en fait ? Bon, vivre à deux a aussi des avantages sur lesquels on ne s'épenchera pas ici. Cela dit, un peu de calme et d’instants pour soi fait toujours un bien fou. On se laisse vivre, sans vraiment s’occuper de l’heure qu’il est ou de quelque impératif que ce soit. Et c’est justement ce que nous montre l’artiste Yaoyao Ma Van As par le biais de ces jolies illustrations. On vous laisse d'ailleurs découvrir son travail et toutes ces petites vérités sur la vie en solo !

N°1 – Profiter du calme

N°2 – S’échapper de la réalité

N°3 – Jouer avec son animal de compagnie

N°4 – Travailler quand ça nous chante

N°5 – Savourer une tasse de thé en regardant la pluie tomber

N°6 – Baffrer n’importe quoi devant la télé

N°7 – Danser comme si personne ne regardait (car c’est le cas)

N°8 – Ne rien faire de la journée

N°9 – Faire un câlin à son meilleur ami

N°10 – Être un peu bordélique

N°11 – Profiter des choses simples

N°12 – Prendre tout son temps dans le bain

N°13 – Aller se promener où l’on veut quand on veut

N°14 – Faire une fête avec soi-même

N°15 – Grignoter tout ce qu’on veut sans se sentir jugé(e)

N°16 – Profiter d’une matinée rien que pour soi

N°17 – Méditer sans être dérangé(e)

N°18 – Travailler comme bon nous semble

N°19 – Manger toute la pâte à cookie !

N°20 – Profiter d’avoir du temps devant soi

Crédits images / image à la une : yaoyaomavanas.com

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Recyclons toutes nos vieilles fringues !

Stepahnie Miller est professeure d’Art. Après avoir accouché de son premier enfant, la jeune femme a souffert d’une dépression post-partum. Elle adorait peindre, mais force est de constater que dans un appartement une pièce, cela n’était pas évident. Les odeurs de peintures étaient assez fortes et évidemment, nocives pour le bébé. Elle a donc mis cette passion en pause. Mais ressentait un besoin terrible de s’occuper et surtout, de faire parler la créativité qui sommeillait en elle. Un jour, elle a donc eu l’idée de se servir de vieux t-shirts de son mari pour en faire de sublimes robes. Après avoir regardé quelques tuto sur YouTube, elle se sentait prête à tenter cette nouvelle activité.

Créativité et originalité sont au rendez-vous

Et quelle activité ! Stephanie a du talent. Et en plus, son mari lui a un jour ramené une machine à coudre. Désormais, elle avait tous les éléments en main pour s’adonner pleinement à sa nouvelle passion. Et les robes qu’elle réalise pour ses filles sont incroyables. On ne pourrait absolument pas croire qu’il s’agissait au départ de vieilles chemises ou de vieux t-shirts d’homme ! Ses filles en sont fans et elles ne se font pas prier lorsque leur maman veut leur confectionner une nouvelle tenue. D’ailleurs, pour retrouver tout le travail de Stepahnie, rendez-vous sur son Instagram !

https://www.instagram.com/p/BWy5Rtxhgya/?taken-by=mothermakesx4

https://www.instagram.com/p/BWNcUYYhBZx/?taken-by=mothermakesx4

https://www.instagram.com/p/BSKbYb9BGDR/?taken-by=mothermakesx4

https://www.instagram.com/p/BU7Dgv2B8zM/?taken-by=mothermakesx4

https://www.instagram.com/p/BU-F631hGgE/?taken-by=mothermakesx4

https://www.instagram.com/p/BU7EQfhBVUt/?taken-by=mothermakesx4

Crédit photos / photo à la une : @mothermakesx4

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Un couple + une gueule de bois = ?

Aaah la gueule de bois. Inutile de vous demander comment vous le vivez, on connaît forcément tous la réponse. Mal. Notre tête nous fait mal, notre ventre aussi. Pour les plus malchanceux, vous souffrez même de courbatures. Bref, vous avez pris 60 ans en une nuit sans vous rendre compte de rien. En clair, la gueule de bois, on la vit tous un peu de la même façon. À un détail près que lorsqu'on est jeunes parents, on ne peut pas forcément se permettre de décuver comme quand on avait 20-25 ans. À se traîner sur le canap' devant un programme à la con et manger un truc bien gras pour se remettre. Avec un peu de coca-cola, cela va de soi. Mais ce couple a manifestement vécu sa gueule de bois d'une façon très différente. En atteste la photo postée sur le blog de Sophie, jeune maman.

Deux conceptions de la vie bien différente

On voit d'un côté, de quelle façon son mari vit sa gueule de bois. Et comment elle, elle le vit. Lui est affalé comme une grosse me*** sur le canapé. Elle détaille même qu'il s'est endormi devant le films Les Minions, à côté de son fils. Pendant qu'elle a préparé un bon petit plat de lasagnes pour toute la famille et a continué à faire les trucs qu'elle faisait habituellement. Bon, heureusement, la jeune femme a également confié que son mari ne lui avait pas tenu rigueur de cette photo, car il a beaucoup d'humour. Nous en tout cas, on a bien rigolé !

https://www.instagram.com/p/BXLsG_0l3s-/

Crédit photo / photo à la une : @tiredandtested

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Voilà une bien jolie vidéo qui met du baume au coeur !

À cause de son handicap, cette petite fille risquait bien de devoir rester assise sur une chaise pendant que ses camarades dansaient pour le spectacle de fin d'année de l'école. Mais ça, c'était sans compter sur le grand coeur de Mariano Salas, un prof d'EPS de l'école qui a pris la décision de porter la petite fille sur ses pieds lors du spectacle.

Ainsi, l'enfant a pu profiter presque comme ses petits camarades de ce joli moment festif.

Cet article Grâce à ce prof d’EPS, cette petite fille handicapée a pu participer au spectacle de danse de son école ! (vidéo) est apparu en premier sur Le Tribunal Du Net.

Aimee Morrisby, une jeune femme américaine a eu le malheur de faire quatre fausses couches en cinq ans. Bien résolue à avoir un enfant, la demoiselle a pourtant été victime d'une maladie de l'intestin qui a sévèrement endommagé son utérus. Malgré les nombreuses séances de fécondation in vitro, rien n'a semblé fonctionner, et la route vers la maternité est devenue un rêve inaccessible à la jeune femme.

Un jour, sa soeur Shayna, elle-même mère de deux enfants lui a fait une proposition qui a changé leur vie à toutes les deux. Ne supportant plus de voir Aimee souffrir de sa stérilité, la jeune femme lui a proposé de lui offrir ses propres embryons afin qu'elle puisse finalement devenir maman.

Très proches l'une de l'autre, les deux soeurs se sont soutenues jusqu'au bout, au point même que lors de l'accouchement qui a finalement eu lieu, elles se tenaient la main. Grâce à l'immense don de sa soeur, Aimee a donc finalement pu accoucher d'une petite fille baptisée Francesca Louise Morrisby qui a aujourd'hui sept mois et qui se porte pour le mieux. 

Voilà une magnifique preuve de l'amour que peuvent se porter deux soeurs, et de la volonté qu'une femme peut avoir lorsqu'il s'agit de fonder une famille pour de bon.

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Les princesses Disney changent de tête !

Imaginez un peu vos princesses Disney préférées, avec des coupes de cheveux ultra moderne. Ou disons, un peu plus modernes qu’une longue chevelure tombant en cascade dans le bas de leur dos. Je dis ça, mais je rêverais d’avoir de beaux et longs cheveux comme ça !!!! Quoi qu’il en soit, une artiste a repensé les coiffures des princesses les plus célèbres de l’univers Disney. Et le résultat est fantastique. Elles sont toutes aussi belles qu’avec leur coiffure d’origine, si ce n’est plus. Au détail près que ce sont des coiffures plus modernes. L’artiste en question a même un compte Instagram dédié où retrouver toutes ces super coiffures. Elles ont le mérite d’être simples, accessibles, mais originales !

24 coiffures sublimes et résolument modernes

Ici, on vous montre ce que ça donne sur quatre héroïnes, à savoir : Raiponce, Elsa, Vaiana et Mérida. Que vos cheveux soient courts, longs, ondulés, lisses, frisés, noirs, blancs, roux, bruns ou blonds… Vous devriez trouver au moins une coiffure qui devrait vous plaire dans le lot. Perso, je suis complètement fan de la coupe d’Elsa N°6. Et vous, à quoi ressemble votre coiffure actuelle ? Et surtout, laquelle rêveriez-vous d’avoir parmi ces 24 coiffures différentes ?

Raiponce

Elsa

Vaiana

Mérida

Crédits images / image à la une : @pastel.ette

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Porsche, Maserati, Range Rover...

Une offre d’emploi comme celle-ci, autant vous dire que vous n’en verrez pas tous les jours. En effet, une riche famille de Grande-Bretagne recherche actuellement sa prochaine nounou. La famille en question a préféré rester anonyme. On peut donc imaginer qu’ils sont assez connus. Et l’annonce a été postée sur le site childcare.co.uk ! Le fait est que la nourrice sera presque employée à temps plein. Mais surtout, elle sera rémunéré 110 000€ par an. Elle pourra profiter des voitures (de luxe) de la famille : Porsche, Maserati, Range Rover. Elle devra être prédisposée à voyager trois fois par semaine sur plusieurs continents. Notons également que cette nounou de luxe devra travailler 6 jours sur 7. Elle ne sera apparemment pas obligée de prendre ses repas avec les enfants, mais cela est préférable. La famille a prévenu également qu’il s’agissait-là d’un emploi « exigent »… Et attendez la suite.

Un chef étoilé lui préparera ses repas

Sachant que les enfants de 2, 5, 7 et 15 ans reçoivent une éducation à la maison, la nourrice devra aussi assister à leurs leçons. [On ne sait pas s’il lui sera également demandé d’avoir le don d’ubiquité, mais c’est fort probable]. Elle pourra profiter, au même titre que le reste de la famille, des repas d’un chef étoilé au guide Michelin (rien que pour ça, je signe). Elle devra également faire les courses et prendre tous les rendez-vous nécessaires pour les enfants. Idéalement, elle aura un permis de conduire britannique. Ah oui, et elle doit également avoir 15 ans d’expérience et ne pas avoir d’enfant. Autre détail, elle n’a pas le droit de prendre de drogue, ni de pratiquer le binge drinking (une façon excessivement rapide de s’alcooliser et à la mode chez les jeunes).

Que pensez-vous de cette offre d’emploi ?

Crédit photo / photo à la une : © thinkstock

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La pizza, c’est la vie !

La pizza aurait été élue meilleur en-cas après le sexe ! D’ailleurs, je pense que la pizza est le meilleur en-cas tout court. Et c’est même un sondage réalisé par Yelp sur 2000 américains de la génération millennials qui nous fait cette drôle de révélation. Sexe ou pas sexe, voilà une énième preuve que la pizza, c’est la VIE. Arrivent en seconde position les tacos à égalité avec les pâtes. J’aurais bien rajouté les beignets aux framboises, mais ce n’est que mon avis. Bref, tout ce qui se mange quoi. La même enquête nous fait une autre révélation au sujet des habitudes alimentaires des célibataires.

Pas de plan cul au resto

En effet, 46 % d’entre eux seraient plus attirés par une personne dont les habitudes alimentaires sont similaires à la leur. Et là encore, la pizza sort grande gagnante du lot. La nourriture la plus adaptée durant un ‘rendez-vous’, que ce soit le premier ou le deuxième, serait donc la pizza. Ensuite les glaces, et enfin les pâtes et les tacos. En revanche, une personne sur trois estime qu’on peut manger avec son plan cul, mais pas n’importe quoi. En gros, il y a peu de chance pour que votre sex friend vous emmène au resto gastronomique du coin. Les personnes interrogées disent préférer un repas à la cool et du rapide, en livraison ou à emporter. Et vous, quel est votre péché mignon après le sexe ?

Crédit photo / photo à la une : © Toa Heftiba/Unplash

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Le "love bombing" : késako ?

En amour, les tendances vont et viennent. Avant, on s’écrivait, on se rencontrait, on se retrouvait. Mais à l’ère de l’amour 2.0, de Tinder et autres applications de rencontre, les choses sont différentes. Tout se passe bien plus vite, les relations évoluent. Bref, l’amour aujourd’hui se vit d’une manière un peu différente qu’autrefois. Et s’il existe des tendances en amour, il faut savoir qu’il en existe également en désamour. Eh oui, un tout nouveau terme a d’ailleurs fait son apparition et il s’agit du « love bombing ». Explications.

Ne succombez pas aux love bombers...

Un « love bomber » est la plupart du temps, un pervers narcissique. Le genre de personne sur qui il vaut mieux éviter de tomber. Celui (ou celle) qui va vous rendre accro, qui va vous élever au plus haut des montagnes russes. Avant de vous faire dévaler la pente sévère. Une fois que vous avez « mordu », et que vous êtes « total in love », le love bomber devient distant. Il change de comportement de façon brutale. Vous n’avez presque plus de nouvelle, plus de SMS, plus d’émojis romantiques, et autre snaps. C’est d’ailleurs le psychiatre Dale Archer qui a pour la première fois évoqué le terme. En clair, si vous avez l’impression que les choses vont un peu trop vite, calmez le jeu direct. Ou essayez de ne pas vous laisser prendre au jeu. Plus facile à dire qu’à faire, pas vrai ?

Ps : le terme n’a peut-être trouvé un nom que récemment, mais je crois que ce concept existe depuis bien longtemps déjà. Fuis-moi, je te suis, suis-moi, je te fuis…

Crédit photo / photo à la une : Pixabay

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Luis Padron, un Argentin de 26 ans, rêve de devenir un elfe. Il dépense sans compter dans des techniques esthétiques qui lui permettent d’atteindre le physique de ses rêves. En plus de tous les traitements qu’il s’achète chaque mois pour décolorer sa peau, il vient de se faire implanter des cheveux afin de ressembler encore plus à un elfe. Mais il prévoit encore de nombreuses opérations bien plus incroyables.

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Une publication partagée par Luis Padron - 👑 THE ELF 👑 (@luispadron.elf) le 9 Juin 2017 à 21h20 PDT

Il fait modifier son implantation capillaire

Son obsession pour les elfes, les anges et les créatures féériques lui vient de son enfance. Il se réfugiait dans ce monde magique, pour se remettre du harcèlement dont il était victime. Luis Padron a quitté l’Argentine pour se rendre à Beverly Hills dans une clinique spécialisée dans la transplantation capillaire afin de se faire poser des follicules sur le front. Il souhaiterait avoir une implantation plus basse et échancrée, en forme de cœur, comme l’ont les vampires et les elfes.

[caption id="attachment_287942" align="alignnone" width="600"] Il a modifié son implantation capillaire (Caters News)[/caption]

[caption id="attachment_287943" align="alignnone" width="600"] Il subit une chirurgie pour avoir des cheveux comme un elfe (Caters News)[/caption]

Il veut se faire agrandir les membres inférieurs

Il a déjà dépensé plus de 39 000 euros en procédures chirurgicales. Il a encore de multiples opérations de prévues avant d’atteindre le look de ses rêves. Il a prévu de subir une liposuccion du visage, une rhinoplastie, l’épilation au laser intégrale et une opération pour changer la couleur de ses yeux. Mais ce n’est pas tout, les autres procédures sont encore plus farfelues. Il va notamment se faire opérer des oreilles pour qu’elles deviennent pointues et subir un agrandissement des membres, afin de mesurer presque 2 mètres. Il prévoit aussi de se faire enlever des côtes pour affiner sa taille.

[caption id="attachment_287941" align="alignnone" width="600"] (luispadron.elf/Instagram)[/caption]

[caption id="attachment_287940" align="alignnone" width="600"] Lorsqu'il retouche ses photos pour ressembler à un elfe (luispadron.elf/Instagram)[/caption]

Il ne veut plus ressembler à un être humain

À l’heure actuelle, il dépense plus de 4300 euros par mois, rien qu’en produits cosmétiques. Il décolore ses cheveux, mais il applique aussi quotidiennement des crèmes pour blanchir la peau, puis des crèmes solaires de facteur 100 afin de ne pas prendre le soleil. Le jeune homme, qui évolue dans le milieu du cosplay et qui en a fait son métier, explique son projet de vie : « Je veux ressembler à un elfe, un ange, un être féérique. Mon but est de ne plus ressembler à un humain. Je veux être éthéré, gracieux et délicat. J’ai mon propre idéal de beauté et je veux l’atteindre. Je veux que mes oreilles soient pointues comme celles des elfes, mes mâchoires taillées comme un diamant, un lifting du visage et des yeux, afin d’avoir un regard de chat ».

[caption id="attachment_287939" align="alignnone" width="600"] Lors de sa première rhinoplastie (luispadron.elf/Instagram)[/caption]

[caption id="attachment_287938" align="alignnone" width="600"] Au naturel, il y a 5 ans, aux côtés de Lady Gaga (luispadron.elf/Instagram)[/caption]

Il ne se considère pas comme un homme

« Je me considère comme transespèce, tout comme des gens se sentent transgenres. J’ai besoin de ressembler à ce que je ressens à l’intérieur et je ne m’attends à ce que les gens me comprennent, tant qu’ils me respectent ». Il est évident que même s’il n’est qu’au début de sa transformation, il ne passe déjà plus inaperçu. En plus des vêtements étranges qu’il porte, il faut dire qu’il a de longs cheveux blancs (qu’il a malheureusement dû raser pour subir son opération de transplantation capillaire). Vous pouvez suivre toute son évolution sur son compte Instagram.

[caption id="attachment_287937" align="alignnone" width="600"] (luispadron.elf/Instagram)[/caption]

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Le 20 août à Itaguï, c’est NO stress

Le bonheur ! En Colombie, se tient chaque année une fête en l’honneur de la paresse. Depuis 1985, elle est célébrée tous les ans, le 20 août, dans la ville d’Itaguï. La journée de la paresse est en fait une façon comme une autre de lutter contre le stress. Car faire un break de temps en temps ne peut qu’être bénéfique ! Tant pour votre santé, que pour votre moral. De façon assez paradoxale, Itaguï est réputée pour être une ville active, ne laissant que peu de place à la détente, justement ! Et c’est peut-être pour ça qu’il fallait inventer cette journée. Je note d’ailleurs que nous ne l’avons pas en France et que c’est bien con.

AFP

Programme : traîner dans les rues en pyjama

L’idée de cette journée est simple : ne rien faire. Mais alors ne rien faire du tout. Du matin au soir. l’occasion pour beaucoup de traîner dans les rues en pyjama (oui, oui). De faire des batailles d’oreillers ou encore des course de lits sur roulettes. Ça c’est pour la partie fun, et les plus gros flemmards peuvent quant à eux se poser dans des hamacs ou des matelas. Une étude de 2012 avait d’ailleurs indiqué que la France était la grande gagnante du classement en matière de stress au boulot. Bravo. Y’a pas de quoi être fier.

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Crédit photo à la une : AFP

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Qui a dit que c’était facile d’être enceinte ?

Maya Vorderstrasse est maman de deux enfants. Sur son compte Instagram fleurissent des photos de ses bébés, mais également d’elle lorsqu’elle était enceinte. Et à en juger par ce qu’elle nous en dit (et du peu qu’on en sait tant qu’on n’a jamais mis bas, lol), ça n’est pas de tout repos. Maya explique qu’elle était fatiguée de ne voir que des photos ‘parfaites’ de femmes enceintes sur les réseaux sociaux. Et qu’elle avait l’impression de vivre sa grossesse d’une toute autre façon. Qu’elle n’a pas hésité à nous partager via son compte Instagram. On la voit donc dans des situations, assez rigolotes, il faut bien l’avouer. Et à côté d’elle se trouve toujours un petit tableau, indiquant généralement le nombre de semaines de grossesse. Ainsi qu’un commentaire marrant décrivant ses petites pensées et états d’esprit du moment.

La réalité de la grossesse : c’est la merde

Bon, on ne vas pas se mentir, on n’est pas débiles, on sait bien qu’une grossesse c’est parfois (très) compliqué à vivre selon les cas. Certes, c’est tout beau tout rose, c’est génial, on s’apprête à accueillir un bébé, donc TOUT vaut le coup (même souffrir atrocement et prendre 50 kilos). Enfin, de ce que j’en lis, et je me doute que c’est vrai. Mais ces derniers temps, la tendance veut que beaucoup de mamans montrent ce qu’est la ‘réalité’ de la grossesse et/ou de la maternité par le biais de ce genre de shooting photos. Elles ont beau le faire de façon décalée et sur le ton de l’humour, moi je suis désolée, c’est précisément CE genre de mamans qui ne me donnent pas envie d’avoir d’enfant. Car ça confirme tout ce que je pensais de la grossesse et de la parentalité en général : ça fait flipper.

Ps : inutile de me lyncher, je ne dis pas que les photos ne sont pas mignonnes, loin de là, juste qu’elles m’épuisent rien que de les regarder. Même si je sais parfaitement que cette maman est au comble du bonheur ;)

N°1

27 semaines :

-Sciatique brûlante

-Vessie sauvage

-Ça vaut complètement le coup

N°2

29 semaines :

-Ne peux plus m’arrêter de manger

-Ne rentre plus dans mes chaussures

-Mais ne pourrait pas être plus heureuse

N°3

31 semaines :

-Ne peux plus voir mes pieds

-Tout le temps envie de faire pipi

-Tout va pour le mieux

N°4

33 semaines :

Lorsque ta femme en est à ce stade de la grossesse, ne t’avise pas de manger les derniers trucs qui traînent…

N°5

35 semaines :

-Les roses sont rouges

-Les violettes sont bleues

-Je suis trop enceinte pour faire de la poésie

-Donnez-moi de la glace !

N°6

37 semaines :

- FAIT -

J’ai gagné le droit de ne plus porter de pantalon

N°7

38 semaines :

J’ai envie de faire une sieste ici, maintenant

N°8

39 semaines :

Il a dit que je devenais irrationnelle et que mes hormones me travaillaient...

N°9

40 semaines :

Comment ?

N°10

N°11

N°12

"Allaiter un nouveau-né" : verbe

Très gênant, douleur induite par la soif, généralement accompagnée d’une faim de loup. Tu peux me passer mon chocolat maintenant STP ?

N°13

On fait un bonhomme de neige ?

N°14

"Poule pondeuse"

Semaine 1 :

Ouaip, tout ba bien, merci de vous en inquiéter

N°15

Crédit photos / photo à la une : @mayavorderstrasse

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Quand vous croisez Elena Goodall aujourd’hui, vous voyez devant vous une femme athlétique et sûre d’elle. Mais si vous l’aviez croisée, il y a deux ans, vous ne l’auriez même pas reconnue. Elle pensait n’avoir plus que quelques années à vivre, à cause de son obésité morbide. Non seulement, elle a perdu 115 kilos en deux ans, mais en plus, elle est devenue une championne du triathlon. Voici son impressionnante transformation, grâce à une volonté incroyable.

[caption id="attachment_288168" align="alignnone" width="600"] (Instagram/elles_journey_to_good_health)[/caption]

Elle a dû stopper son addiction à la nourriture en faisant du sport

Il est difficile de croire que cette Australienne de 29 ans était presque 3 fois plus imposante, il y a deux ans. Elle a pesé jusqu’à 184 kilos, elle en pèse aujourd'hui 69, comme elle le dévoile sur son compte Instagram. « Je veux vraiment que les gens sachent que mon histoire est bien plus qu’une simple perte de poids. C’est une histoire de courage et de détermination. » Au départ, elle s’est mise à faire du triathlon uniquement dans le but de perdre du poids. Elle était obsédée par la perte de chaque centimètre et de chaque gramme. Et à force de s'entrainer, elle s’est rendue compte qu’elle ingérait de la nourriture non plus comme une drogue, comme c’était le cas par le passé, mais tout simplement parce que son corps lui en réclamait pour tenir le coup des exercices. « Puis c’est devenu le fait de vouloir dépasser les limites physiques que je pensais impossibles. Je me suis mises de nouveaux objectifs qui ont changé ma vie ».

[caption id="attachment_288169" align="alignnone" width="600"] (Instagram/elles_journey_to_good_health)[/caption]

[caption id="attachment_288167" align="alignnone" width="600"] (Instagram/elles_journey_to_good_health)[/caption]

Ses objectifs ont porté leurs fruits

Elle a commencé à vouloir perdre du poids, le jour où un médecin lui a dit qu’elle ne passera pas la barre des 40 ans, si elle restait dans cette condition physique. Mais ce docteur était loin de s’imaginer le déclic qu’il allait déclencher en elle. En plus, elle s’est mise à faire du triathlon, l’un des sports les plus difficiles, car il faut beaucoup d’endurance pour enchaîner le vélo, la course à pieds et la natation.

[caption id="attachment_288166" align="alignnone" width="600"] (Instagram/elles_journey_to_good_health)[/caption]

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De nombreux jeunes hommes ont réagi d'une manière fantastique contre ce qu'ils ont estimé être une atteinte sexiste au droit de se vêtir des jeunes femmes de leur école. A San Benito High School, à Hollister, en Californie (Etats-Unis), environ vingt filles ont été renvoyées de l'établissement scolaire parce que leur tenue dérogeait avec le dress code établi.

Interdisant les hauts qui laissent entrevoir les épaules, le règlement n'avait pourtant jamais été appliqué dans cette optique. Pourtant, désireux d'assurer la sécurité de leurs élèves, les membres de l'équipe pédagogique ont fini par l'appliquer avec insistance (et maladresse), et ont renvoyé de nombreuses jeunes filles qui n'avaient pourtant rien demandé.

Apprenant la nouvelle, un groupe de jeunes hommes, étudiants du San Benito High School également, a décidé d'agir. Plutôt que de manifester, comme on le voit de plus en plu souvent, les garçons ont préféré s'habiller des vêtements interdits à leurs homologues féminins. Déambulant donc en t-shirts amples, ils ont réussi à pousser le principal du lycée vers une révision des règles établies. Entrant dans un véritable débat, on peut supposer que de telles règles verront bientôt la fin de leur règne arriver !

Une belle preuve de solidarité et d'égalité à une période où ces deux valeurs manquent parfois cruellement !

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